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Les téléphones portables ont bien une incidence sur notre cerveau

 

Une nouvelle étude américaine concernant le lien téléphone portable-nocivité des ondes électromagnétiques prouverait aujourd'hui que l'utilisation du mobile entraînerait bien des modifications du cerveau. Pour autant, les chercheurs ont été incapables de déterminer si les modifications en question étaient réellement nocives.

 

C'est un débat qui fait rage dans notre société depuis plusieurs années, alors que le nombre de téléphones mobiles utilisés ne cesse d'augmenter. Les ondes électromagnétiques émises et réceptionnées par nos portables sont-elles dangereuses pour notre santé ? Une équipe de chercheurs américains a tenté de répondre à cette question en observant les effets de ces ondes sur le cerveau humain.

 

Ils ont ainsi constaté que lorsqu'un cerveau était exposé à un mobile, celui-ci produisait plus de glucose dans sa zone la plus proche de l'antenne du téléphone. Une découverte qui prouve bien que les ondes agissent sur notre corps, mais il est pour l'heure impossible de déterminer si ce phénomène nous est nuisible ou non.

A noter qu'en France, les téléphones portables sont interdits dans les établissements scolaires, en partie par mesure de précaution. Par ailleurs, on ne connaît toujours pas aujourd'hui la nuisance réelle des antennes-relais installées un peu partout dans l'Hexagone.

 

Source : maxisciences.com

  • 2 months later...
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Les champs électromagnétiques n’altèrent pas la santé selon une enquête du Fonds national. Mais l’étude est incomplète

 

Tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes. L’étude publiée hier par le Fonds national suisse (FNS) sur les ondes électromagnétiques arrive à la conclusion que les téléphones mobiles ne sont pas nuisibles pour la santé. Malgré des découvertes qui laissent songeur.

 

L’équipe dirigée par Peter Achermann, de l’Institut de pharmacologie et de toxicologie de l’Université de Zurich, a en effet établi que les ondes cérébrales peuvent se modifier pendant les périodes de sommeil. A condition que les sujets soient exposés avant de s’endormir au rayonnement durant une conversation d’une demi-heure sur un téléphone mobile. «Ces modifications n’ont pas d’impact sur la qualité du sommeil», a toutefois ajouté le Pr?Alexander Borbély, de l’institut zurichois.

 

Fœtus surexposé

Si l’usage régulier d’un téléphone mobile n’a pas d’effet sensible sur la santé, il est en revanche nécessaire de protéger le fœtus des rayonnements non ionisants produits par d’autres appareils comme les cuisinières à induction, mettent en garde les scientifiques.

 

En effet, un fœtus endure une exposition aux ondes électromagnétiques bien supérieure aux valeurs limites quand la future mère subit l’exposition maximale tolérée.

 

Les recherches du Fonds national n’apportent pas de réponse définitive, ont souligné les Offices fédéraux de la santé publique et de l’environnement. «Même si aucune incidence sur la santé n’a été constatée, il subsiste des interrogations quant à certains effets biologiques encore inexpliqués sur les flux cérébraux ou la capacité des cellules à réparer l’ADN», a précisé Jürg Baumann.

 

Les Offices fédéraux sont arrivés à la conclusion qu’il fallait poursuivre les recherches mais l’argent manque. «La Suisse ne peut pas s’offrir une recherche adaptée? C’est un vrai scandale», commentait Ueli Leuenberger, le conseiller national genevois du Parti écologiste. «Il faut à tout prix poursuivre ces recherches», a encore appuyé l’élu des Verts.

 

lematin.ch

  • 3 weeks later...
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SANTE - «20 Minutes» fait le point sur l'annonce du Centre international de recherches sur le cancer mardi...

 

Que dit l’IARC?

Après une semaine de réunion à Lyon, 31 chercheurs du Centre international de recherche sur le cancer provenant de quatorze pays, une branche de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), ont classé les champs électromagnétiques de radiofréquence (de 30 kilohertz à 300 gigahertz) en catégorie 2B mardi. Mais l’ensemble des études compulsées par l’IARC portaient surtout sur les ondes des téléphones portables (entre 0,9 et 2,1 GHz), qui présentent donc un «possible» risque cancérogène pour l’homme. Le classement des agents cancérogènes par l’IARC comprend quatre catégories, qui vont du groupe 1 (soleil, ultra-violets, tabac, amiante) au groupe 4 (absence de preuves de cancérogénicité). Le groupe 2B comprend des agents tels que le plomb, le café ou… les cornichons.

 

Quels sont les risques et pour qui?

Les utilisateurs de portables peuvent développer certaines tumeurs cérébrales (gliomes), car les ondes entament la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique, une membrane qui protège le système nerveux de substances toxiques. Mais attention, tous les utilisateurs ne sont pas exposés de la même façon. Les conclusions de l’IARC s’appuient notamment sur une étude menée à la fin 2010 (Interphone) qui démontre que le risque de développer un gliome augmenterait de 30% pour les plus gros consommateurs (au moins 30 minutes par jour de téléphone portable pendant dix ans). «Ils ne représentent que 10% des utilisateurs», remarque Jean-François Doré, chercheur Inserm au centre de lutte contre le cancer de Lyon, qui a participé à la réunion de l’IARC.

Quelles sont les recommandations?

 

Si les recommandations relèvent davantage des autorités sanitaires et donc de l’OMS, le directeur de l'IARC, Christopher Wild, préconise toutefois de prendre «des mesures pragmatiques pour réduire l’exposition» aux ondes, comme l'utilisation de kit mains-libres et l'envoi de SMS. Un principe de précaution déjà évoqué à maintes reprises en France, notamment par le Centre de recherche et d'information indépendantes sur les rayonnements électromagnétiques. Ce dernier a établi 12 précautions à prendre pour utiliser son mobile, depuis le choix de l’appareil à son lieu d’utilisation et de rangement en passant par la durée et les conditions d’appels. >> Et les conseils de NeoPlanète pour 20 Minutes, c’est ici

 

Quid des antennes-relais?

Si elles sont également classées 2B, la quantité d’ondes à laquelle l’homme est exposé via les antennes relais est «100.000 fois moindre que celle émise par un téléphone portable, dans la mesure où ce dernier est collé à l’oreille», explique Jean-François Doré. Malgré tout, un état des lieux est actuellement réalisé pour mesure les doses de champs électromagnétiques émises par ces antennes. Cette opération, entamée à l’issue du Grenelle des ondes, devrait aboutir à une expérimentation avec les opérateurs téléphoniques pour diminuer la puissance de certaines antennes.

 

Où en est la recherche sur les téléphones portables

«Il est important que de recherches supplémentaires soient effectuées», a souligné Christopher Wild. L’étude sur laquelle se basent notamment les conclusions de l’IARC (Interphone) a en effet été réalisée en 2004. «La génération actuelle de téléphones est beaucoup moins irradiante», observe Jean-François Doré. En outre, il n’y a actuellement aucune donnée sur l’impact des ondes des portables sur la santé des enfants, même s’il est déjà recommandé d’éviter d’y exposer les moins de 15 ans. Une étude internationale, Mobi-Kids , est actuellement en cours. Mais les résultats ne devraient pas être communiqués avant au moins trois ans.

 

Source : 20minutes.fr

  • 4 weeks later...
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Santé / mobiles : des mesures proposées par Robin des Toits

 

Un extrait :

Informer et protéger

C'est le cas de l'association Robin des Toits qui, sur cette nouvelle base, a écrit au Ministère de l'Ecologie pour demander un renforcement de l'information aux consommateurs et des mesures pour limiter les expositions, mesures qui n'ont pas besoin de passer par des textes de loi.

 

Elle demande notamment à ce que le portail d'information Radiofréquences - santé - environnement, financé par le gouvernement et les industriels, modifie son approche reposant sur l'absence de danger des ondes émises par les mobiles, de façon à prendre en compte la nouvelle position de l' OMS.

 

Elle appelle à la mise en place d'une campagne d'information déconseillant l'utilisation du téléphone portable pour les jeunes de moins de 14 ans et les femmes enceintes, dans la foulée du nouveau classement des radiofréquences et demande aux industriels de prévoir un interrupteur externe pour couper les émissions WiFi des box ( cette technologie sans fil fait aussi partie des préoccupations de l'association ).

 

Enfin, elle demande de préférer les connexions filaires au WiFi dans les établissements scolaires. Autant de mesures qui peuvent être appliquées rapidement et par les pouvoirs publics, faute d'avoir le soutien des industriels.

 

Source et article complet : generation-nt.com

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Cela me fait franchement rire que les Robins des Bois réclament plus d'information ...

Qu'estce que cela va bien changer?

 

Si etre informé d'un risque devait entrainer une modification du comportement ,il ne devrait plus y avoir aucun fumeur (Pour rappel ,le tabac est responsable de plus de 60000 morts tous les ans en France seulement).

 

Il faut donc distinguer entre un risque éventuel et un risque avéré .

 

Par exemple si vous avez envie de vous informer pour l'alimentation je vous renvoie au site de l'ANSES

 

http://www.anses.fr/PM9100W801.htm

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D'un côté, informer les gens c'est se dégager de certaines responsabilités pour les industriels et les autorités qui régissent la mise sur le marché ou non des produits. :laugh: Les gens ne pourront pas venir se plaindre d'un manque d'information qui a fait qu'ils ont acheté sans savoir et que s'ils avaient su... :laugh:

 

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"Santé / Mobile : pas de gros danger des ondes, pour l'ICNIRP" sur generation-nt.com

  • 4 weeks later...
  • 1 month later...
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SFR condamné à retirer une antenne relais dans les Pyrénées Orientales

 

L'opérateur SFR a été condamné à enlever l'une de ses antennes relais pour la téléphonie mobile installée en 2010 à Montesquieu des Albères, dans les Pyrénées-Orientales, indique l'AFP.

 

C'est la cour d'appel de Montpellier qui a rendu cette décision le 15 septembre dernier via un arrêt dont l'AFP a reçu une copie. Motif de la décision : 26 riverains de la commune considéraient que la position de ce pylône de 12 mètres, conçu pour recevoir une antenne relais GSM, engendrait « un risque grave pour leur santé et celle de leurs enfants ». Le pylône était en effet situé à 80 mètres du domicile de deux des plaignants et à environ 100 mètres pour trois autres d'entre eux, exposant ainsi les habitants à de grandes quantités d'ondes électromagnétiques. Les 26 plaignants avaient saisi le juge des référés du Tribunal de Grande Instance (TGI) de Perpignan fin 2009.

 

Dans son arrêt, la cour explique cette décision par le respect du « principe de précaution édicté par l'article 110-1 du Code de l'environnement selon lequel l'absence de certitudes, compte tenu des connaissances scientifiques et techniques du moment, ne doit pas retarder l'adoption de mesures effectives et proportionnées visant à prévenir un risque de dommages graves et irréversibles ».

 

SFR est ainsi invité à retirer son antenne d'ici six mois, sans quoi l'opérateur devra s'acquitter de 500 euros par jour. Rappelons qu'en 2008, Bouygues Telecom avait similairement été condamné à démonter une antenne relais dans le Rhône suite aux plaintes de riverains.

 

A noter que le gouvernement s'intéresse au problème de l'exposition aux fréquences, la ministre de l'Ecologie Nathalie Kosciusko-Morizet et le ministre de l'Economie numérique Eric Besson ayant récemment envisagé et commencé de mettre en place le contrôle de l'exposition aux fréquences, qui devrait aboutir à l'abaissement de la puissance de certaines antennes afin que les limites d'exposition ne soient pas dépassées. Il est également prévu que des contrôles en amont des installations d'antennes relais soient mis en place.

 

Source : clubic.com

 

Et après il y a des personnes qui vont téléphoner à la hotline parce que ça ne capte pas bien. :happy:

  • 1 year later...
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"Antennes relais : l'Académie de médecine rassurante" sur sante.lefigaro.fr

 

L'Académie de médecine critiquent le projet de loi visant à limiter la puissance des ondes électromagnétiques émises par les antennes relais.

 

[...]

 

«L'Académie regrette une initiative fondée sur un flou scientifique et réglementaire qui, ne pouvant se prévaloir en dernier recours que du principe de précaution, est de nature à renforcer artificiellement chez nos concitoyens un sentiment de peur et de défiance injustifié, mais préjudiciable en terme de santé publique», déclare le communiqué de l'institution.

 

[...]

 

Pas de justification scientifique

Seuls les portables et non les antennes relais ont d'ailleurs été classés comme des «cancérogènes possibles» par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC). Les antennes relais, note l'Académie, entraînent une exposition aux champs électromagnétiques 100 à 100.000 fois plus faible que les téléphones portables: une exposition pendant 24 heures à une antenne à 1 volt par mètre donne la même exposition de la tête que de téléphoner avec un portable pendant 30 secondes.

 

Quant à la proposition parlementaire d'abaisser le seuil maximal d'exposition aux ondes électromagnétiques à 0,6 volt par mètre, elle «n'a aucune justification scientifique», selon l'Afsset.

 

On risque de surcroît «d'augmenter sans justification l'exposition des quelques 90% des Français qui utilisent un portable», ajoute l'Académie, car avec la multiplication des antennes relais et la réduction de leur zone de couverture, «la puissance d'émission du portable augmente chaque fois qu'on passe d'une zone de couverture à une autre».

  • 3 weeks later...
Posté(e)

Cancer et téléphone : les nouvelles recommandations pour limiter les risques

 

L’Agence européenne de l'environnement estime, dans un nouveau rapport, qu’un lien probable existe entre téléphone portable et cancer. Elle préconise de bons gestes pour diminuer notre exposition aux ondes.

 

 

Le débat sur la dangerosité du téléphone portable reprend de plus belle ! A ce jour, les experts n’arrivent toujours pas à s’accorder sur les risques ou non de l’utilisation du téléphone portable sur le cerveau. Mais l’Agence européenne pour l'environnement vient de livrer un rapport dans lequel elle recommande des mesures immédiates pour un usage plus raisonné du téléphone portable. Le principe de précaution doit prévaloir.

 

Attention au téléphone en voiture

Sa principale préoccupation repose sur l’utilisation encore courante du téléphone mobile en voiture. Comme dans tous véhicules en mouvement (métro, train etc…), l’usage d’un téléphone en voiture entraîne le passage d’une antenne à relais à une autre ce qui augmente notablement les risques d’expositions aux ondes. Il faut donc éviter autant que possible d’utiliser son mobile en voiture explique l’Agence.

 

Elle préconise également lors d’une conversation téléphonique d’utiliser les kits piétons plutôt que coller le téléphone directement à son oreille, de ne pas rester trop longtemps en ligne et de changer toutes les deux minutes d’oreille.

 

D’autres part, il vaut mieux éviter de laisser les jeunes enfants utiliser un téléphone portable.

 

Rappelons qu’en 2011, la Cour de cassation italienne a reconnu un rapport entre tumeur du cerveau et utilisation intensive du téléphone portable chez un salarié et que le Centre International de Recherche sur le Cancer (CIRC) a déjà classé le portable comme potentiellement cancérogène pour l’homme...

 

Source : http://www.topsante.com

  • 3 years later...
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Santé et mobiles : une étude US trouve un lien entre exposition et apparition de tumeurs chez le rat

 

Une grande étude menée aux Etats-Unis conclue à un lien de faible incidence entre exposition aux radiofréquences des mobiles et apparition de tumeurs chez le rat, de type gliome et schwannome.

 

[...]

 

Par épisodes ou à l'occasion de nouveaux résultats, le débat sur le danger potentiel des ondes mobiles reprend vie et si les dernières études publiées tendaient à écarter un risque, une grande étude menée aux Etats-Unis dans le cadre du National Toxicology Program (NTP) conclut à une incidence faible, mais non nulle, de l'apparition de tumeurs de type gliome et schwannome chez le rat exposé à des radiofréquences du type de celles émises par les mobiles, selon les premiers résultats non définitifs des données étudiées.

 

Le rapport souligne que, étant donné la diffusion du téléphone portable à toutes les couches de la population et à tous les âges, même une faible augmentation de l'émergence de ces tumeurs du fait de l'usage des téléphones portables pourrait avoir de grandes répercussions en matière de santé publique, relève le Wall Street Journal, même s'il reste à voir à quel point ces résultats préliminaires observés chez le rat sont applicables à l'homme.

 

[...]

 

Il faudra tout de même attendre l'automne 2017 pour la publication des résultats définitifs de cette étude du NTP et vérifier si les effets constatés dans les conclusions préliminaires se trouvent confirmés, ce qui pourrait alors conduire à une révision des normes de sécurité et d'exposition.

 

Source et article complet : generation-nt.com

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